"...la malédiction de clermont..."
Le Château de Clermont, vestige d'une époque où de grands seigneurs régnaient sans partage sur les terres fertiles de la Valdaine... Une ère où sortilèges et potions étaient monnaie courante et où nul ne niait l'existence du malin... C'est en ces ruines désolées que cet aprés midi s'est déroulé un terrible drame...
Au mépris de tous les avertissements et de tous les dangers, la jolie mais néanmoins étrange Patricia _dite "la Poule aux doigts crochus"_ se dirigea vers la tour du château bien décidée à trouver un moyen d'y pénétrer et d'emporter le fameux trésor qui, parait-il y était enfermé depuis 800 ans. Aprés de longues heures passées à creuser le sol alentours elle mis enfin la main sur la clef du donjon... Elle se trouvait enfin sur le point d'assouvir son rêve... Alors, légende ou pas...?
De légende il n'était pas question... enfin pas tout à fait, car si de trésor elle ne trouva point en revanche la prophétie s'accomplit et à tout jamais elle se trouva prisonnière des murs, comme avalée par ces pierres qui, voilà 800 ans avaient fini par mettre fin aux disparitions dans la campagne...
Voilà, vous allez me dire: _Elle est vraiment bidon ton histoire, franchement on a plus 5 ans! La crédulité à ses limites! etc... etc...
Ok vous avez raison! Fini les histoires!
Mais alors que penser de Nicolas, de ce grand ra-con-teur...? Dîtes le lui à lui que ses histoires on y croit pas, dîtes lui par exemple que Blum et Jaurés n'ont jamais prôné le libéralisme, dîtes lui que ce ne sont pas les travailleurs qu'il prétend défendre et qui vont tous les jours au charbon pour une bouchée de pain qui font l'actionnariat Français, dîtes lui que les chômeurs, les analphabètes, les sans papiers, les sans abris ne sont pas "volontaires" à la misère, expliquez lui tout ça...
Mais bon sang me faîtes pas chier avec ma p'tite histoire certes un peu pourrie mais qui après tout m'a bien fait "monter" pendant ces 10 dernières minutes ( et vous aussi finalement si vous êtes encore en train de lire ces lignes..!), voilà c'est tout... Sans rancune! A demain!